Formation spécialisée pour les photographes professionnels
Edition #7 : « Corporate & Business Booster »
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Formation spécialisée pour les photographes professionnels
Edition #7 : « Corporate & Business Booster »
Formation d’une durée de 34 heures, pour booster son activité et remettre ses valeurs au coeur de son entreprise en développant ses compétences techniques de photographe de mariage documentaire.
Augmenter sa créativité pour réaliser des photographies originales avec des compositions fortes. Préciser son style photographique pour se différencier.
Pratiquer la prise de vue de photo-reportage pour élargir son champ de vision.
Les personnes qui sont susceptibles de suivre la formation sont des photographes professionnels (possédant un numéro SIRET).
Le pré-requis minimum est de disposer d’un site web professionnel, d’avoir et de maitriser l’utilisation d’un boitier numérique professionnel et d’avoir déjà photographier au moins 3 mariages.
Un ordinateur disposant d’une connexion WIFI.
Un appareil photo, objectifs et accessoires habituels de prise de vue.
Le logiciel Lightroom
Chaque participant est invité à apporter un cahier vierge pour prendre des notes, son matériel photographique ainsi que son matériel informatique, équipé des logiciels utilisés par chacun pour la post production de ses images. Chaque stagiaire est aussi invité à se munir du matériel de flash utilisé d’habitude dans la réalisation de ses images
Méthode d’évaluation des acquis :
Pour chaque chapitre de la formation, une partie théorique est suivie immédiatement d’une partie de mise en place pratique et de conseils adaptés à différentes situations. Travail de groupe à prévoir, chaque jour. Une évaluation de la formation sera réalisée d’une part, par les formateurs, et d’autre part, par chacun des participants, à l’issue de la formation.
Vitaminant, potion magique, belles rencontres, remise en question. 2 idées que je retiens: travail parmi les hautes lumières, les tips des two mann, utilisation des flashs déportés, grand sens de la composition.
C’est une vraie possibilité de s’enrichir en connaissances bien sûr mais aussi en rencontres et en partage. 2 idées que je retiens: m’ouvrir à d’autres champs des possibles et m’autoriser l’échec pour finir par etre contente de son travail et shoot shoot shoot.
Ca va au-delà d’une formation, on ne peut le raconter, il faut le vivre.
Expérience exceptionnelle. Outre le contenu qui est parfait, l’organisation est géniale. Tu sais combien je suis réticent avec le concept d’immersion mais là c’est parfait, le juste niveau entre travail et détente. Merci les filles.
Beaucoup d’émotion, un coeur rempli, cerveau rempli et nourri de conseils, aide, soutien. Expérience humaine incroyable Partage / Humanité / Transparence / Bienveillance. 2 idées que je retiens: valeurs, identifier ses valeurs et les retranscrire dans son travail, la peur te pousse à aller plus loin, arrêter de penser que c’est inaccessible, avoir plus confiance en soi et sa créativité.
Je m’appelle Aurélien – Aurél pour les proches. Originaire d’Auvergne (Clermont-Ferrand), je suis passé par Paris, puis Lyon et plus récemment Villeurbanne. J’ai 41 ans, je suis photographe de profession depuis mai 2017.
Après un bac scientifique (que j’ai failli interrompre pour devenir boulanger), des courtes études en informatique et une maîtrise de langues étrangères – dont un semestre aux USA – j’ai débuté une carrière dans le journalisme spécialisé en photo et high-tech (Digital Photo Magazine, Micro Actuel, 01Net, MicroHebdo et Clubic.com). Je parle de carrière parce que cette aventure stoppée en novembre 2016 aura tout de même duré un peu plus de 11 ans. Dans ce parcours qui peut sembler mouvant, mon goût pour la photo a demeuré. Comme un fil d’Ariane au milieu d’un labyrinthe d’envies variées et changeantes. Le voyage, la musique, la cuisine, la glisse, la botanique, la grimpe, l’ébénisterie, et j’en passe…
Ceci étant, la photo n’est pas une passion d’enfance. Je m’y suis réellement mis en 2004, quand le numérique a commencé à tenir la route. La technologie m’a toujours un peu fasciné. Peut-être qu’elle s’assortit trop bien à ma nature cartésienne, un brin perfectionniste. La photo quant à elle me permet d’assouvir mes envies créatrices, d’exprimer mes inspirations artistiques.
Ma conception de la photo ? Elle est aussi indépendante que mon régime social…
J’affectionne une palette très large de genres et de styles, tant que mes yeux font dire à mon cerveau « ça me plait ». Oui, en photo il n’y a bien que l’image finale qui soit figée. Les critères sont variés – sujet, lumière, message, composition, technicité, créativité, imaginaire – c’est le dosage de l’ensemble qui me fera aimer ou passer à côté. Dans ce mix l’esthétisme joue bien sûr un rôle majeur. Mais seul, le beau plonge mon regard dans l’indifférence.
J’aime beaucoup le portrait, le rapport humain qu’il implique et la vérité qu’il renvoie. Mais je suis ouvert à beaucoup de registres et j’apprécie quand le défi se présente. Chose qui arrive souvent avec la photo de produits. C’est par nature un domaine exigeant où il faut être soigné et créatif. Parce que le produit n’a généralement pas d’intérêt intrinsèque.
Contrairement à un mannequin qui peut être beau même en haillons et sans aucune mise en valeur. Non, le produit a besoin du photographe pour devenir beau et prendre du sens. L’avantage, c’est que le produit pose sans rechigner. Dès l’or, on prend le temps de chiader, de peaufiner, de lécher ses lumières et ses compositions. Et on déjoue un à un tous ses pièges : reflets, transparence, tenue, défauts, etc. Vraiment une photographie de challenges.
Pas de récompense en photo, je n’ai jamais participé à un concours 😉 Parmi mes clients, ceux avec qui j’ai réalisé des prestations photo de produit / ambiances : EDF ENR, Chouffe, VepliBike, ACOEM, Boostheat, IXON, Adventure Group, VOI, Arlo France, Urban Keratin, Gegid Group, Maison Bettant, Combe d’Ase, LCA Florabiol, Froilabo, Fasteesh, Sun Institute, Lovebox, etc.
Optimisation Site web et SEO – https://www.facebook.com/davidmazeau
Depuis 2017, je suis photographe et vidéaste professionnel. J’ai remarqué le manque de connaissances et de compétences techniques parmi les sites web de mes collègues de travail. Depuis 2006, grâce à mon BTS technique distinct, ma licence d’infographie générale et mon master 3D / compositing, j’ai pu travailler sur des projets pratiques de production numérique en collaboration avec d’autres artisans utilisant des solutions techniques.
Soutenir les personnes qui se sentent frustrées de ne pas pouvoir créer comme elles l’imaginent par manque de technologie ou de savoir-faire.
J’ai une stratégie numérique qui est large et je la décline sur trois niveaux : je considère les besoins et les messages de l’artiste, ainsi que la planification de son contenu afin d’être efficace tout en vérifiant si le référencement organique se déroule bien. Pour gagner du temps, tout ce travail doit être fait de manière intelligente
Je suis photographe culinaire à Lyon et je travaille avec des professionnels du secteur agro-alimentaire (entreprises, restaurants, coffee-shops) dans toute la France.
Mon travail s’inscrit dans le cadre d’une imagerie graphique, gourmande et minimaliste, où la dimension créative est soutenue par une attention importante donnée à la direction artistique.
Néanmoins, le culinaire n’a pas toujours été au centre de mes préoccupations. D’abord, je suis complètement autodidacte.
En effet, mon intérêt pour la photo s’est éveillée grâce à la photographie de rue. En 2017, j’ai découvert le travail de Joshua K. Jackson et Craig Whitehead, deux références de la photographie de rue contemporaine. Je me souviens avoir été marqué par la puissance des compositions épurées du premier et impressionné par le sens de l’équilibre du second. C’est à ce moment là que la rue est devenue mon terrain de jeu favori.
Je voulais exceller dans ce domaine et c’est cette motivation qui m’a permis de comprendre les enjeux réels de la photographie: la lumière, l’équilibre de la composition, l’histoire véhiculée par une image. Pendant mon apprentissage, j’ai été encouragé par plusieurs publications dans des magazines dont Fisheye Magazine et Réponse Photo.
Lorsque j’ai eu terminé mes études (Master de Sociologie politique), la photographie avait pris une place si importante dans ma vie qu’à vrai dire je ne me voyais pas travailler dans un bureau et consacrer ma vie à la recherche en sociologie ainsi que je l’imaginais quand je suis entré à la fac
J’ai donc pris la décision de me professionnaliser en tant que photographe fin 2019. En vérité, il est très difficile de vivre de la photographie de rue. Comme j’adore manger, ce qui me coûte plusieurs heures de sport chaque semaine, je me suis dit que la photographie culinaire pourrait à la fois m’apporter les bases techniques dont j’avais besoin en nature morte, tout en m’offrant la possibilité de mettre mes compétences au service des métiers de bouche.
C’est là que le Covid intervient: fermeture des restaurants, fonctionnement au ralenti des entreprises de l’agro-alimentaire. J’ai donc mis entre parenthèses mon projet pendant deux ans pour me lancer officiellement en mai 2021. La photographie culinaire m’a très rapidement plu et stimulé car au-delà de la dimension artistique que la photographie de rue me permettait déjà de pratiquer s’ajoutait la satisfaction d’oeuvrer au succès d’un projet collectif.
J’ai immédiatement commencé à démarcher des restaurants, des entreprises, des hôtels. Je me suis rendu compte que la demande était là et que mon style plaisait.
En l’espace de quelques mois, j’ai eu la chance de travailler avec des multinationales (Cadbury, Sofitel) et des entreprises implantées à l’échelle nationale (Comtesse du Barry, Les compagnons du miel, Restalliance).
Cette formation est ouverte à tous les photographes: en questionnement pour leur installation, débutants ou encore déjà installés depuis 1, 2 ou 30 ans…
Cette formation a pour unique objectif de permettre à tous les participants d’affirmer leur identité photographique, de mieux maitriser les techniques photographiques, associées aux thématiques développées lors de chaque édition du Groovy Photography BootCamp. 3,5 jours d’apprentissage, d’échanges, de partages, de défis, mais aussi l’intégration d’une communauté de photographes bienveillants, qui grandissent ensemble après cette formation.
1 journée passée avec chacun des formateurs, des Ateliers Techniques, de la Théorie mais aussi beaucoup beaucoup de Pratiques de Prise de Vues… Des outils indispensables, en somme, pour réussir son activité de photographe…
1 – Théorie
2 – Disciplines et des Enjeux
1 – Pratique Packshot
2 – Pratique Créative
3 – Editing
1.1 Trouver son message personnel
Connaître sa clientèle
Choisir son médium par rapport à ses cibles
Exemple d’image de marque avec présentation de l’histoire de David
1.2 L’outil SITE INTERNET
1.3 Le SEO
2.1 Créer son image de marque (Branding)
2.2 L’expérience Utilisateur (UX)
2.3 Sa Stratégie de contenu
2.4 Le développement
2.5 Le “Jus”
2.6 L’analyse de données
3.1 Conception
4.1 Étude de cas
1 – De la photo de rue à la professionnalisation – Théorie
2 – Questions / Réponses
Je réponds à vos interrogations sur cette 1 ère partie
3 – Créativité et Matériel
4 – Questions / Réponses
Je réponds à vos interrogations sur cette 2 ème partie
1 – De la Pré-Production à la Production – Théorie
2 – Questions / Réponses
Je réponds à vos interrogations sur cette 1 ère partie
3 – La Post-Production – Théorie
4 – Questions / Réponses
Je réponds à vos interrogations sur cette 2 ème partie
Après une partie théorique de 2h45, le formateur mettra en activité formera des binômes afin qu’ils pensent et réalisent une image publicitaire à l’aide des techniques présentées dans la partie théorique. Cette mise en pratique se déroulera en trois temps.
D’abord, les binômes seront invités à travailler à la pré-production de l’image. Il s’agira pour beaucoup d’une initiation à la direction artistique d’un projet photographique. Cette étape, cruciale, permettra aux participants d’avoir une vision claire du cap à tenir pour la session de prise de vue. Afin de favoriser l’immersion du participant dans la réalité du métier de photographe, le formateur transmettra à chaque binôme un « brief cliexnt » auquel il devra répondre par une proposition de visuel. Pour ce faire, le binôme construira un moodboard et réfléchira à partir des produits mis à sa disposition afin de répondre à ce brief tout en satisfaisant les exigences techniques et esthétiques de la photographie publicitaire. Cette phase de recherche doit aboutir à la proposition d’un visuel accompagné d’un petit texte destiné à convaincre le client d’aller dans la direction proposée. Le formateur donnera ses conseils sur la faisabilité technique du projet et sur les améliorations possibles avant la prise de vue.
Ensuite, à tour de rôle, les binômes sont mis en activité afin de réaliser les prises de vue nécessaires à leur visuel. La participation du groupe est la bienvenue et le formateur donnera ses conseils techniques afin d’améliorer la composition (éclairage, angle de prise de vue, dynamisme général de l’image, narration).
Enfin, le groupe sera invité à choisir deux clichés présentant des difficultés différentes afin que le formateur puisse les initier aux techniques de la postproduction d’images composites sur Lightroom et Photoshop. Les participants pourront suivre la retouche en direct et poser leurs questions au formateur.
1 – Pré-Production – Pratique
1 – Présentation du projet de chaque binôme – Pratique
1 – Prise de Vue – Pratique
1 – Prise de Vue – Pratique
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